Il faut savoir, nul ne sait

Cela devient du grand délire. Les élections approchant, le gouvernement ne prend aucun gant.

Ce sont plus de 7 200 gens d’armes déployés avec tout leur matériel dont le moindre est le canon à eau.

Certes, devant son imprévoyance, il n’avait pas vu venir les échauffourées d’infiltrées très violentes dans le combat des gilets.

Mais, peut-être le pire, sont les termes de langages employés dignes de gens du pouvoir qui ne veulent pas voir une tête dépassée.

Depuis quant les individus n’ont plus le droit de manifester librement pour faire connaître leur désarroi, leur colère, leur incompréhension d’un gouvernement qui ne sait que répondre par l’aumône.

Jamais il n’essaie vraiment de résoudre de qui pose vrai problème aux gens du quotidien.

Personne ne veut d’un ruissellement asséché.

Mais tous et toutes veulent vivre dignement de leur travail en toute équité, toute liberté.

Il y avait celle qui avait un père sans en avoir besoin dans sa vie quotidienne.

Alors elle s’en est affranchie, sorti de sa vie, c’est bien.

Il y avait celle qui n’avait pas de père.

S’en est aller le chercher.

Alors elle a tenté de se faire adouber comme enfant au baptême ou criminel en confesse.

Et les deux sur le ring politique des élections à venir se battent pieds, poings et ongles.

Elles veulent savoir qui d’entre elles arrivera à la cheville de l’illuminé tout seul en haut de ses sondages.

Peut-être qu’un trublion arrivera à faire valoir sa parité.

Elle aurait pu avoir la rage de savoir un début d’entente derrière son dos avec l’égérie pas adroite qui est encore ennemie.

Mais, elle a pris prétexte d’une réunion machiste bourrée d’hommes sans femme.

C’est le crime parfait.

Que les femmes s’entre-disent « on sort entre copines ».

tout va très bien madame la Marquise.

Mais que désormais l’homme en dise autant avec ses copains et lèse-majesté de défaut de parité.

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