Un match arrêté, des recettes perdues, la honte pour le club recevant, que fallait-il faire, semblent demander les décideurs.
Pourtant, la solution est simple.
Elle saute aux yeux.
Il aurait suffit d’exclure ce joueur qui a fait exprès de se jeter sous la bouteille joyeusement lancé par un supporteur perdu dans la foule.
Ainsi le tour était joué, la match aurait pu reprendre.
Et, croyez-moi, pour la suite du championnat, les intéressés s’y prendront à plusieurs fois pour ne pas se retrouver bêtement dans une telle situation.
Le ministre de la défense a fait savoir que l’histoire des sous-marins ne l’avait pas perdu.
Qui rira bien rira le dernier.
En effet, le retour de boomerang risque bien de se faire lorsque le faux ami s’apercevra qu’il ne sera pas équipé à temps contre la menace au bord de ses frontières.
Mais, pendant ce temps, insensible à cette sagesse d’un vieux lion, le contrat se finalise entre les nouvelles parties.
Qui va couler à flots dans ce jeu de dupe ? « Sera vacciné, guéri ou mort » phrase désormais célèbre pour synthétiser la situation en Germanie.
Pouvons-nous nous attendre à ce qu’il en soit de même ailleurs en Europe ou sur notre sol ? Les Antilles s’enflamment, décidément, en été il fait trop chaud dans cette région.
Mais, le prétexte de l’obligation de vaccin pour les soignants fait le pendant de celui du pétrole d’avec les gilets jaunes.
Et tout s’est répandu sur le véritable mal être de vie, le pouvoir d’achat, la non confiance de ceux que le pouvoir ne veut pas regarder en face.
Jusqu’à quand cela va perdurer ? Parmi tant d’autres choses, chômages etc, seulement 72 millions litres d’eau peuvent être consommés.
Le reste est définitivement perdu étant donné la vétusté des canalisation la-bas.
Et l’on ne retiendra pas sla conduite inadmissible de l’État français refusant de prendre sa part de responsabilité dans une véritable pollution infectieuse.