Il faut le savoir
Être fils de, n’est pas toujours facile.
Surtout si l’impression est d’être injustement défavorisé imprègne tout le bien être pensant.
Déjà, la dame de compagnie de ce qui était un très grand acteur, était attaqué ; personne n’avait compris qu’elle était La Compagne voulue par l’intéressé.
Ce qui ne plaît pas du tout aux trois futurs héritiers.
Mais, ceux-ci sont incapables de faire corps commun.
Et, comme de bien entendu, à leur habitude, les journalistes en font leurs choux gras.
Ils s’autorisent même, les vautours à aller beaucoup plus loin.
L’homme n’est pas encore mort, ni même placé en tutelle, ce qui ne devrait pas tarder selon l’intervention éventuelle de la justice compétente représentée par son procureur compétent.
Mais, pourtant, sur les ondes, l’on discute fort le bout de gras sur la fortune à toucher, quelles sont les parts de chacun, etc.
Une vraie honte : dès qu’il y a des pages à faire, les pro du genre arrivent en essaim.
Dès qu’il y a de l’argent en cours, les familles se déchirent.
Et, cela va même jusqu’à la terre qui le recouvrira puisque l’intéressé désire rester en sa demeures mais que l’actuelle gagneuse à 50 % veut le retourner en terrain neutre.
Le réélu de justesse à majorité très relative avait vu le vent venir.
Aussi avait-il annoncé sa volonté d’en finir avec le chômage.
Outre le rabotage de la durée et le montant de l’indemnité, il appelait les sans-emploi soit à passer sur le trottoir d’en face, soit à se bouger pour être son propre employeur.
Le chômage, sacré farceur, avait un temps baissé puis s’est empressé de remonter dès que son temps était (re)venu.
Et, les nouveaux patrons sont ravis de toucher en moyenne à 30 % d’entre eux moins que le Smic et pour le reste, vous aurez du mal à en trouver qui toucheraient 4 000€/mois avant impôts.
Joyeuse année sachant que le réélu qui ne peut plus l’être, réitère sa volonté de poursuivre ses belles réformes.
