Il faut boire sa soupe lorsqu’elle est chaude

A Bouyon, malheureusement, les habitants ont bu le bouillon d’un bain de boue malvenu.

Mais, c’est moins pire, et plus mieux, que la dizaine de morts enregistrés dans le sud français.

Et, de toute façon, puisque le gouvernement a dit que le pire a été écarté, regardez devant vous la vie radieuse qui vous attend.

Mais, dans ce climat joyeusement heureux, je ne voudrais troubler personne.

Pourtant, je ne peux m’empêcher, qu’il y a 20 ans certains assureurs mutualistes s’étaient élevés contre l’anarchie régnant dans la construction au mépris de la connaissance du terrain ancestrale.

Plus loin encore, le souvenir d’une mémoire non enfouie d’une étude de sol effectué après carottage dont les conclusions amenaient énergiquement a refuser toute construction tant le sol était meuble.

Mais, le prometteur d’alors, je vous parle d’un temps que les moins de 45 ans ne peuvent pas connaître, nous rappelle pour une nouvelle étude.

Et, là ; miracle les mesures sont excellentes, les constructions envisagées, réalisées.

L’astuce, un peu de sable pour loyer l’entourloupe et le tour est joué.

Je ne vous parlerais pas non plus, tant il y a comme un avis de redondance, d’un certain leader écologique des années 60/70 dont tout le monde, ou presque, se moquait en le comparant à Noé sur sa péniche.

Mais l’essentiel sera de demander de déclarer l’état de catastrophes naturelles pour que la vitrine soit sauve et la poussière tranquillement remisée en-dessous le tapis.

Et ainsi, ils purent continuer à vivre pour quelques temps encore.

D’un artiste catalan connu pour ses œuvres inachevées, l’on m’a adressé son intégral en livre, étrange paradoxe… Le chiffre 13 porte malheur.

Demandez à cet homme qui meure tous les 13 jours sous les coups de celui qui était son compagnon.

Mais, en ce domaine, la parité n’est pas vraiment obligatoire…

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