en attendant encore un pou, ils auront sans doute de quoi écrire pour notre mai 18… Ha ces journalistes sur les courses cyclistes qui font tout ce qu’ils peuvent pour respecter le féminisme et déclarer leur flamme en laissant la parole belle à ces belles.
qu’ils sont beaux ces journalistes bien obéissants.
Dommage toutefois qu’ils dérapent sans rappel sur ce qu’un croit bien dire en disant que le rose porté par cet enfant l’est sur une fille puisque là sont les usages et coutumes bien établis.
De vrais pro du langage châtié et bien pensant.
Rappelez-vous, hier, l’on avait retiré le gaz qui ne devait pas se prendre pour une lumière, c’était la normalité d’alors.
aujourd’hui, l’on pense normal que le gaz par lumière.
A quand retour des gaz pour les charlots qui inventent sans cesse le fil à couper le beurre sans penser à apprendre à s’en servir ?
Le constat aujourd’hui est que les riches ne veulent pas des pauvres.
Aussi, l’idée géniale de l’impérieux et de ses forts en thèmes est d’amener les riches chez les pauvres.
c’est ainsi que le logement social va être quasi bradé faisant croire aux-dits pauvres qu’ils peuvent profiter de l’aubaine.
Mais, au fur et à mesure, ils vont constater que les seules charges incombant aux propriétaires accompagnés de la taxe foncière font mal au portefeuille si celui-ci n’est pas en conséquence.
Ainsi, pour une quasi bouchée de pain, les riches pourront acquérir pour moins cher que ce qu’il aurait pu trouver par ailleurs.
Mais ce gouvernement libéral ne veut pas s’arrêter en si bon chemin, il a décidé l’abandon de l’encadrement des loyers dans le privé et veut instaurer un bail précaire.
Soi-disant pour faciliter l’employabilité des logements.
Cela fait penser à la pensée d’éradiquer le chômage en favorisant les sorties dehors le travail !