Le temps d’un ouragan coquin passant, il confirme ses dires d’un refus pourtant ratifier par tant nombre de pays que l’on comprend mal cet isolement.
Aussitôt libéré, d’une aventure dont il voulait l’avis d’opposants un peu saignant d’un régime qui ne l’ait pas moins, fatigué comme il est, se terre pour ne pas parler à ses pairs car il connaît bien leur férocité.
Mais, s’il a retrouvé l’usage de la parole, sans doute prendra-t-il précautions légitimes avant de nouveau s’exprimer, en confirmant son soulagement d’en être sortie sans bobos malgré les menaces et sans doute une nuit inutile passé sur un banc oublic d’un commissairiat de police accueillant.
Il est libre l’impérieux de se mettre en scène sur un lit de camp alors qu’il était bien mieux logé qu’un maréchal des logis.
Mais il s’en fout libre comme il est de passer au travers les foudres des ses opposants, déçus de première heure, tant celles-ci ne peuvent atteindre son présent céleste.
Il est libre le nabot d’un Nord déchiré de son alpha, désireux d’être aussi gros que son voisin le bœuf et de s’éclater comme il l’entend avec les joujoux des grands.
Il est libre le grand d’une droite en recherche de ses repères dont il a tant aidé à les cacher ; désormais il plaide la réunion de tous les extrêmes qui ainsi réunis ne le seront plus.
Sera-t-il écouté par celui qui brigue d’une impatience forte d’une réussite assurée faute de combattants tentant de compter les points avant d’entamer la véritable bataille en rase campagne lorsqu’il sera obligé de signifier le rassemblement sous une bannière qui ne portera pas son nom.
Radio libre aussi, un peu comme le temps d’une occupation hostile, retrouvant ses origines d’une information vraie pour les résidents d’îles dévastées livrés à eux-mêmes sans cela.
Et Laurent de dire ce qu’i pense d eJean-Luc partic provisoirement vers des cieux plus bienveillants…