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Il a encore sévi

Non content d’avoir ordonné les ordonnances pour n’avoir pas la capacité de s’expliquer clairement vers les élus encore en démocratie, je crie ton nom, il a cru malin de faire le mariole emporté qu’il n’est pas dans sa diatribe de tribun dont il devrait prendre exemple sur l’un de ses meilleurs opposants.

Ainsi, d’une usine qu’il a cru sauver, il tempête dans l’incapacité des ses maîtres de trouver salariés à leurs pieds.

Sa diatribe va jusqu’à rappeler aux fainéants d’une autre entreprise qu’il a décidé de ne pas sauver, d’aller plutôt de ce côté retrouver du travail un moment abandonné.

Peu lui importe une durée de trajet de plus de deux heures pour l’aller et autant pour le retour lorsque l’on aime l’on ne compte pas son temps.

Mais justement, ces analphabètes osent ne pas aimer ce qui lui est jeté en pâturage écologique arguant d’éléments de langage à faire rougir un communicant élyséen.

Pourtant, ces braves gens comme ils sont braves, ne sont pas jusqu’à aller préconiser que si la dite entreprise ne peut faire venir à elle les petits ouvriers de presqu’à à côté elle n’a qu’à aller vers eux.

Malin le singe, de ne pas préconiser la mobilité patronale.

De toute façon, c’est bien connu, seul le maître, même de petite taille, a raison tant il ne saurait pas se tromper.

Et c’est ainsi qu’il est normal de leur verser allocations d’emplois pas pour tous qu’ils transforme en rançon pour esclavage moderne.

Moderne, c’est vite dit, mais il faut bien parler l’usage de son temps de temps en temps.

C’est comme en école républicaine où l’on vous apprend comment obéir aux ordres, jamais les contester si ce n’est lever le doigt pas trop haut pour tenter faire valoir sa bonne idée qui ne doit pas l’être trop.

C’est ainsi qu’en École Supérieure de Commerce ou d’ailleurs, l’on vous dit comment organiser l’entreprise, la sauvegarder des aléas extérieurs selon la bonne voloté patronale.

Jamais, vous êtes intéressé aux erreurs commises par ces premiers ; ce qui est somme toute normale puisqu’ils ne font jamais d’erreur peut-être à la rigueur d’avoir trop fait confiance à des salariés non aussi méritants qu’eux…

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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