Une ancienne piscine désaffectée sera transformée en maison de retraite : avant le grand plongeon ? Vous avez certainement entendu la grande victoire de ce petit groupe parlementaire venu d’une ancienne droite en déperdition.
L’un de ses éminents membres s’est battu, poing levé, pour faire voter un amendement modifiant radicalement la vie des chômeurs.
En effet, parmi les autres innombrables restrictions de cette loi progressiste, les auteurs de départs volontaires ne pourront plus prétendre aux indemnités chômage.
A, bon, ils sont si importants que cela ? Pour y répondre l’honorable a fait savoir qu’il est parti en vacances et a entendu ce souci de raz de marée.
Certes, il n’y a aucune étude sur cette affaire.
Mais, si dans les faits, cela concerne peu de personnes, alors cela ne gênera personne.
Vive les votes de lois au doigt mouillé.
Au fait, savez-vous que la précédente loi restrictive sur ce sujet, drame de la France existentielle, n’a fait l’objet d’aucune étude sur son impact ou vraie utilité, même pas une comparaison avant/après.
Mais, l’important, n’est-il pas ma chère, de passer pour un réformateur.
Surtout, si toute cette agitation de coléoptères ne touche pas les membres de la nomenclature.
A si peut-être, les pauvres enfants devront se dégeler en sport dans des gymnases chauffés à 16°.
Il est bon de se confronter à la réalité laissée par les adultes.
Bien entendu, aucune voix pour prétendre à l’installation de panneaux solaires en grand nombre, au moins pour les édifices publics.
A propos de cette lumière qui obscurcit ma compréhension.
Pourquoi vouloir éteindre la nuit, hors problématique de pollution lumineuse pour les animaux, alors que les craintes sont dans les pics du jour ? Il n’est pas certain qu’à ce moment là, les familles consomment beaucoup si elles sont au travail ou à l’école.
Aussi, la production solaire de chaque foyer pourrait être un bon complément pour le champion national de fée électricité.