Hibou, elle revient

La manif pour tous est contente, elle va pouvoir organiser des défilés pour cracher sa haine des autres.

Comprenez-moi bien. Je n’ai rien contre ceux qui sont contre. Au contraire bien souvent je suis pour.

Mais vouloir interdire les autres de faire ce que l’on ne veut pas faire soi-même alors que l’on n’y est pas obligé.

Il suffit de choisir, il suffit de passer le pont ou pas.

Les interdits ne permettent que le mensonge, les non-dits d’actes faits de côté et donc mal fait.

Au minimum, cela enrichi les malfaisants.

Mais, ceux qui ont besoin trouveront toujours le moyen de faire ce que les autres ne veulent pas qu’ils fassent.

A l’inverse, si l’interdiction est levée, l’acte est fait non plus pour l’interdit mais pour ce qu’il est.

Vouloir un enfant, vouloir l’élever, est un signe positif de vie alors pourquoi l’enlever.

La société ne doit juger la manière de vie, mais faire en sorte que la vie se fasse au mieux, dans la meilleure des considérations possibles.

En protégeant au mieux le plus faible, en aidant ceux qui sont dans le besoin et non pas en leur jetant l’interdit.

qu’on se le dise : ce qui est permis à l’un peut très bien ne pas être appliqué à l’autre s’il n’en veut pas pour lui.

Mais, ni l’un, ni l’autre ne doit intervenir dans la vie d’autrui.

Si vous jouez à cache cache avec vos enfants, dites à votre femme qu’il est inutile de s’enfermer dans le coffre arrière de votre voitures.

Car si ces petits chéris ne trouvent pas, les gendarmes le feront à leur place même enfoui dans une valise qui pourtant elle était valide.

La réalité dépasse souvent la fiction, c’est pourquoi il y a autant d’écrivain s’inspirant de la vie quotidienne de leurs contemporains.

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