bon, d’accord, les trois cumulées n’ont pas réussi à ramener l’inflation à 0.
Mais, c’était toujours de prix.
Et, cette dernière aurait permis de combler le surcoût de la baguette dont la confection est devenue patrimoine virtuel mondial.
Et, patatras, l’abandon de l’aide sur l’énergie essentielle pour les véhicules thermiques est complété par la majoration inattendue de l’eau courante qui file plus vite que la lumière.
Et ce n’est pas le recul provisoire gouvernemental sur la baisse du montant de l’indemnisation chômage si le taux global des chômeurs est inférieur à 6%, cas actuel, qui changera quoique ce soit à l’affaire d’autant plus que les 25 % en moins prévu dès 9 % reste en vigueur.
Pas plus, le non totem du recul de l’age à 65 ans pour prendre sa retraite, ni même sans doute, le plancher de la pension au niveau pratiquement du smic, surtout s’il ne profite pas aux actuels pensionnés.
Une étude menée par des scientifiques risque bien de faire un big dans le bang de la volonté de réduire l’effet de serre du à une consommation de Co2 déchirante.
En effet, beaucoup de pays misent sur l’isolation thermique pour réduire la facture devant dame nature.
Mais, malgré les milliards donnés au mieux la donne n’a pas changé.
Pourquoi ? Tout simplement parce que les passoires énergétiques sont occupées par des familles modestes, voire très pauvres.
Elles ont compris depuis belle lurette l’intérêt d’éviter de dépenser pour ne pas trop grever le porte-monnaie.
Or, si le logement est bien isolé, la facture est moins élevée et les habitants veulent plus de confort pour le même prix.
Alors, ils dépensent plus en énergie, compris ? Super ces gouvernements ultra libéraux qui pratiquent une politique de gauche pour favoriser les défavorisés.
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