Il y en a marre de ces situations. A chaque manifestation pacifique s’opposent des groupes qui ne pensent que violence, qui ne veulent que piller, casser du flic, ho comme ils disent.
Mais, curieusement, pourquoi est-ce que dans certaines, rien de tel ? Prenez la Cop21, les casseurs appelés black-bots avaient été retenus en amont et, par conséquent que très peu de violence, voire nulle en groupe.
Pourquoi ne pas faire pareil à chaque fois ? Pour limiter le droit à manifester ? Pourquoi laisser des cités chaudes s’enflammer et n’intervenir que s’il y a menace sur les centres-ville ? Les forces de l’ordre sont-elles vraiment aussi démunies ou les chefs commandos dans leur bureau jouent-ils à un jeu de go politique ? Et une ânerie de plus gouvernementale, le fameux sondage de l’intérieur qui donne 85 % de satisfaits des actions de la police.
Or, il est désormais prouvé que ce sont les policiers eux-mêmes qui ont recherché les membres du panel qui n’en ait pas.
En effet, il ne prend que des personnes susceptibles de ne pas avoir à faire à leur police dans leur vie quotidienne si ce n’est regarder les autos sirènes hurlantes se ruer dans les cités considérées difficiles.
C’est vache, mais c’est comme ça.
Chouette, la Dame de fer va (r)ouvrir pour la plus grande joie de ses visiteurs impatients.
Ces derniers devront être sportifs puisque les ascenseurs seront inaccessibles.
Les handicapés en salivent déjà.
La tour prend Garde, si le resto Jules Vernes reste fermé, les sans-dent vont se révolter.
Ce qu’il y a de bien, c’est que les événements dijonnais permettent à la parricide de revenir sur la scène en position très confortable.
Elle se permet de reprendre les thèmes si chers à son aïeul ; elle va sûrement lui porter une gerbe.