Certains élus de la majorité, mais pas majoritaires, ont le bourdon de suivre les pas éclairés de l’intérieur voulant jeter les immigrés à l’extérieur.
Aussi, du temps sera consacré pour convaincre de la bonne raison d’état.
Un immigré, ça va, deux ça passera, trois bonjour les dégâts.
c’est clair, il ne faudrait pas que cela devienne une drogue à dépénaliser fissa pour démanteler des filières d’économie parallèle que l’on ne peut inclure dans le Pib de notre beau pays.
Si dans la majorité certains s’inquiètent au doigt mouillé des sdf, d’autres du même clan – courant barbares ? – certifient que parmi les ces gens des rues il y a des volontaires.
C’est comme pour l’esclavage, tout patron trouvera à sa mesure quelqu’un de qualifié pour cet usage ; mais est-ce bien valeur d’exemplaire à référencer ?
Sans doute pas, mais il semble que ces gens la ne savent pas compter ou qu’ils ont quelques soucis avec leurs doigts qu’ils ne peuvent transformer en boulier.
Alors que le nombre d’abris d’urgence pour ces déshérités, non je ne parle pas de cette famille désormais en recherche de repère, a augmenté, selon les chiffres officiels, de 11 %, ce député comptant autrement affirme qu’il y a 110 000 logements d’urgence, soit 100 000 de plus qu’avant.
Je comprends mieux les pronostics d’un prochain clash avec une telle inflation.bon, d’accord, en fait il disait plutôt 10 000, ce qui est proche de la réalité des comptes pour faire genre ; mais croit-il pouvoir s’en sortir ainsi alors que les paroles prometteuses de son saint étaient toutes autres ?
Faut croire que oui.
En tout cas en voilà un qui fait débat : volontairement, il s’est déclaré hors domicile et a choisi comme asile le faîte d’un arbre uniquement pour « faire chier le monde » comme il l’a dit aux policiers l’ayant veillé toute la nuit…