Ha savoir…

Il est évident que produire un hebdomadaire pour une durée de deux semaines ne doit pas être si évident.

Mais, depuis le temps, ces journalistes sont habitués à rassembler leurs mots pour noircir les pages demandées.

Et une de mes revues ne manque pas à l’appel.

Cela se voir rien qu’à la grosseur de l’ouvrage confirmant la grossesse de pages.

Parmi celles-ci un article retiendra tellement mon attention que le voici dévoilé.

Il s’agit de comparer le métier de journalistes avec…l’ensemble des professions de salariés.

Excusez du peu, attention aux chevilles par trop gonflées.

Et de dire que ces gens sont largement privilégiés par rapport aux autres salariés.

Si l’on exclu les pigistes, les Cdd et j’en passe et des meilleurs, il est vrai que cette profession est dans le haut de gamme de l’échelle des rémunérations nationales.

Et, si l’on ajoute la possibilité pour certains de mettre de côté des émoluments reçus dans le cadre de cette belle fonction, il y aurait de quoi baver.

Comme l’on peut jalouser, les médecins libéraux, les professeurs haut perchés, les ministres, les ministres etc.

Et, si l’on s’en tient aux seuls Css, alors, cette profession serait plutôt en bas de ligne même si nombreux smicards, voire Rsa, seraient ravis de prendre la place.

Comme quoi comparaison n’est pas vraiment raison surtout si l’on veut se faire mousser.

D’ailleurs, certains y arrivent plus que d’autres.

Surtout, ceux qui savent parler à l’oreille du Président qui un temps fût éléphant.

Ceux-la ne vendraient à personne leur place si bien léchée.

Certes, souvent, il y a un bon repas à la clé, le chef cuistot de l’endroit, qui côté euros, est en-dessus du panier, sait y faire pour complaire.

Mais, surtout dans ce marigot plein de paniers de crabes, faire savoir que l’on est bien placé mérite élégance et pouvoir en d’autres places.

Bonne lecture…

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