Gestion des risques

La gestion des risques dépend de l’espace concerné. Elle peut être complètement différente selon la taille et, peut-être surtout, les exigences dévoilées.

Mais, dans tous les cas, la base commune est l’audit assorti d’un diagnostic qui sera suivi ou non d’effet selon le destinataire.

Il est clair qu’une activité ayant à respecter des contraintes légales sera plus réceptive qu’une autre pour laquelle tout peut-être fait, ou rien, ou presque.

Ainsi, une entreprise d’assurance doit garantir à ses clients qu’elle sera toujours à même de répondre à ses engagements pris lors de la conclusion de ses contrats d’assurances.

Année par année, mais aussi pour la durée des contrats notamment en assurance vie/décès ou afin de faire face à des sinistres importants.

Deux points sont constants.

La vérification que le risque proposé en amont soit effectivement assurable par l’assureur.

Il peut dès lors, soit limiter sa garantie vis à vis de son client en donnant sa garantie qu’à concurrence d’un certain montant et/ou exiger que soient remplies certaines conditions.

Il peut demander la participation d’autres assureurs dans un contrat dit assurance collective où chacun des assureur aura à couvrir un pourcentage de risque déterminé au préalable.

Important, le souscripteur du contrat devra donner son accord.

Une autre manière de faire est d’appeler à garantie un ré-assureur dont le but est d’assurer les assureurs à partir d’un certain montant de risque soit directement contrat par contrat, soir sur un certain niveau de sinistres en nombre ou montant.

Le souscripteur n’a pas à donner son accord.

D’ailleurs généralement il n’est pas informé du processus.

Mais ce procédé permet à de petits assureurs d’exister encore.

Pendant combien de temps, nul ne le sait, tant les règles financières sont lourdes pour, parfois, des causes bien inconnues si ne sont celles des intérêts des grosses compagnies.

Car en assurance le petit n’est pas beautiful !

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