Garde en préfectorale

Encore des nouvelles croustillantes de l’ex toujours ami, garde du corps, conseiller de l’illuminé qui ne cesse de laisser traîner traces de ses péripéties d’une démocratie non populaire, mais seulement comprise par des hommes de pouvoir…

Ainsi, donc, non content de briser l’interdiction de rapprochement avec un autre impliqué, le brave homme aux passeports diplomatiques certifiés, laissait entendre dans une communication téléphonique interceptée, l’espoir et l’envie de faire disparaître des preuves gênantes avant perquisition.

L’on ne sait pas si cette dernière a fait bonne pioche puisque le secret de l’instruction est vraie également dans cette situation.

Par contre, l’on sait que les avocats refont le coup classique : il ne s’agit pas de contester que ce qui a été dit n’a pas été dit d’autant plus qu’il semblerait que l’on ne peut pas être plus clair dans les paroles et expressions de la volonté d’intention.

Non, ce qui est mis en cause c’est la validité de cette preuve formelle qui aurait été récupérée à l’insu du plein gré des intéressés.

Il n’y a pas qu’en matière fiscale que l’hypocrisie est crasse ! Non, celle qui a mis le feu à l’immeuble des beaux quartiers n’est pas un foulard rouge et encore moins un gilet jaune, juste une malheureuse qui venait de sortir d’hôpital psychiatrique et s’en est retournée fissa après avoir laissé derrière elle 8 morts et quelques blessés en plus des biens calcinés pour faire bon genre.

Réfléchissez bien avant de vous engager non par pour l’armée, ce qui mérite néanmoins bonne réflexion, mais pour valider la loi anticasseur permettant à n’importe quel préfet de décider si oui ou non un tel ou une telle peut se balader dans les rues afin de faire comprendre sa position.

Jusqu’à présent seul un juge y avait recours.

Or, la justice est strictement indépendante alors que le préfet lui dépend de son ministre pour sa carrière de petit soldat…

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