Fraîcheur sincère

Avant, l’on se mariait en disant oui aux parents, plus généralement au père dans ce monde patriarcal, qui ne voyait que la possibilité d’une bonne alliance financière ou de caste.

Puis, si le principe était maintenu de faire bonne affaire, était accepté le refus d’union pour non consentement des principaux intéressés qui ont pu faire valoir qu’ils avaient droit au chapitre puisqu’il s’agissait tout de même de leur vie à suivre.

Enfin, seul l’intérêt amoureux a semblé prendre le dessus permettant au passage de rompre certains codes sociaux, financiers ou raciaux.

Mais, devant la liberté par certains prise de ne pas s’unir pour la vie et constatant qu’après 60 ans tu n’es pas tout à fait aux portes de l’au-delà on emporte tes cendres, aujourd’hui l’intention serait de devenir plus prudent.

Tenter de savoir si cette fois ci c’est bon, et pas seulement le bon coup.

Alors les plus doués posent en algorithme leurs savantes volontés pour tenter de voir si le résultat en vaut la chandelle.

Et baste le coup de foudre qui, c’est certain, s’épuise au bout du bon de patience de chacun(e).

Et là, tout d’un coup d’un seul, l’on retrouve les bonnes vieilles méthodes sous couvert de nouvelles technologies où l’emportent l’éducation, l’usage, le (croit) savoir de soi et sa certitude de ce que l’on veut de l’autre.

Fissa la découverte à deux d’un chemin incertain.

Vive l’autoroute rapide mais réglementée du tous pour soi et ce qui reste est  discuter devant un avocat dont il faut bien assurer l’avenir.

Quand il fait beau, point trop n’en faut.

Avec les plantes non en pot, ne pas arroser trop souvent suffit bien.

Une fois par semaine en abondance sera préférable à plusieurs fois tous les jours au risque de contrarier les belles.

Évitez l’arrosage la journée, préférez le soir afin de leur permettre de profiter de l’eau donnée.

Enfin c’était juste mon conseil d’été…

Quitter la version mobile