Faut pas le dire

D’une petite phrase d’un petit sous-secrétaire d’état, des journalistes à l’affût ont déniché pratiquement une affaire d’état.

L’homme mesuré espère que 2021 sera l’au revoir définitif de la Covid-19 et partant la fin du quoi qu’il en coûte.

Évidemment, cette petite phrase ne coûte rien à dire son espoir.

Mais les journaleux étant ce qu’ils sont, ils leur faut du grain à moudre comme avait coutume à dire un chef syndicaliste de son temps passé.

Alors, il faut en faire des tonnes, en espérant qu’au moins cet agrégé de mots en phrases tienne la journée d’informations primordiales.

Et comme cela peut revenir à la surface le désespoir des restaurateurs, cafetiers, et autres propriétaires de boîtes de nuit sans oublier les autres.

Il est certains que ces gens là veulent vivre de leur travail.

Mais tout le monde pourrait au moins reconnaître que sans les aides astronomiques de gauche accordées par des hommes de droite leur permet tout simplement de vivre réellement sans être obligés de rencontrer Dame rue sans Toit.

Mais il vaut mieux se morfondre de la bouteille à moitié vide au lieu de tenter de constater qu’il est à moitié pleine.

Le meneur d’informations à la va vite dit que si cela continue dans certains autres pays les restaurateurs et autres vont ouvrir bien avant.

Faut-il donner à nos gens commerçants des subsides pour aller exercer ailleurs ? Pour vivre avec la Covid, à défaut d’attendre les vaccins pour en finir, la solution la plus courageuse serait de demander aux personnes âgées, plus de 65 ans par exemple pour faire large, de se confiner volontairement ainsi que les autres personnes considérées sensibles.

Elles devront simplement faire leurs courses et promenades au moment où les autres désertes les rues.

Ainsi, l’on pourrait libérer les jeunes, surtout les étudiants, pour qu’ils puissent vivre leur jeunesse à l’exception de voir leur parents âgés et autres sensibles.

Il n’y aurait plus qu’attendre les doses virales disponibles.

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