Bien entendu, les éléments de langage versés par l’intelligence des services de communication aux ordres est de confirmer l’ignominie de la chose.
Franchement comment peut-on penser qu’un si honnête homme, devenu ce qu’il est en exploitant son petit personnel et en muselant les requins de ses états majors, soit mêlé de près ou de loin à un système de fraude à grande échelle de pots de vin.
Tout fout le camp mon bon ami, c’était mieux avant.
L’imperturbable illuminé qui sait au fond de lui qu’il a raison bien qu’il soit seul à le confirmer devant son miroir, ho miroir suis-je beau, persiste et signe sans preuve que la vitesse réduite à 80 km/heure est bonne pour nos vies s’en remet à des expériences dont il est incapable d’en donner les résultats puisqu’ils ne sont pas probants.
Par contre, comme il sait qu’il y aurait plus de contraventions à la clé, les forces de l’ordre ne doivent surtout pas être au chômage, ce ne serait pas bon pour le moral, il assure que les sous d’euros trébuchants iront tout droit vers les hôpitaux prenant en charge les accidentés de la route.
D’ici là que l’on s’aperçoive que dans sa famille un médecin chef de clinique spécialisé dans ce type d’accidents, il n’y a qu’une roue qui refusera peut-être de rouler.
Et puis cela devrait faire plaisir de savoir aux accidentés qu’ils seront soignés grâce aux bons soins de leurs concitoyens contrevenants.
Le premier de ce gouvernement de débutants, trop heureux d’avoir sa loi à 80Km/h – c’est certainement encore trop vite pour qui marche à pieds – accepte, en définitive une importante concession : recevoir les syndicats du conflits des cheminots.
Mais, pas folle la guêpe ce sera un par un en vis-à-vis histoire de voir qui aura un bon point de boxeur.
