On ne peut faire ce que l’on veut dans la vie d’aujourd’hui.
Alors qu’il se trouvait devant Mme La Juge pour une main aux fesses donnée à une contrôleuse de train, La Juge dans sa grande sagesse a affirmé « qu’on ne peut pas toucher les fesses de quelqu’un, homme ou femme, sans qu’il soit d’accord ? ».
Si ce n’est pas une preuve que nous sommes dans une dictature en robe noire, ce serait quoi alors ? Y a plus de morale.
On ne l’apprend plus en classe.
Il faudrait alors, encore la vivre en vie réelle quotidienne.
Au secours, la droite idiote est de retour.
La gauche elle, toujours pareille au même, si elle peut s’éviter la pénitence gouvernementale, elle respire d’aise.
Tant pis pour les électeurs qui ne lui rendent plus rien.
Une rhinite qui se réveille.
Qu’est-ce qu’il déguste même si ce n’est pas vraiment bon.
Langage absurde de la langue française, mais nous sommes pas mal de monde à vouloir continuer cette litanie souvent émaillée de poésie enchanteresse.
Le trublion d’extrême droite qui fait bien rire son maître milliardaire a le don du détournement à faire pâlir les meilleurs conteurs.
C’est ainsi qu’il tacle ses adversaires qui s’opposent à ce que les gens de tout le monde ayant pour souche une étrangeté du sol ne pourraient point s’appeler d’un prénom soi-disant d’une pureté radicale française.
Et bien pour ce petit homme, incapable de porter son parapluie sinon il s’envole, déclar que celui qui sy oppose est un raciste pur jus.
Lui, évidemment, l ne l’est et veut (re)donner sa dignité à l’être humain qui ne savait pas en être dépourvue.
Enfin, il fait bien rire tout le monde et comme l’autre, vrai celui-la, amuseur public, il grimpe dans les sondages à lui éviter une primaire à l’Attila.
Comme dirait le gag Tous pour Hun.
