Faites ce que je dis…

Je ne sais pas s’il est vraiment fort dans son domaine, mais le médecin-chercheur du midi est très fort dans la controverse.

Il a tout de même réussi à dire à l’excellence des médias télévisés que celui-ci ne comprenait pas parcequ’il regardait trop la télévision.

En tout cas, il prouve qu’il ne veut pas faire partie des gens du monde qui se croient plus grands que ceux qu’ils considèrent plus petits qu’eux.

Même s’il a beaucoup d’estime de lui-même.

C’est désormais prouvé, plusieurs entreprises ont profité du chômage partiel pour spolier l’État, c’est-à-dire l’ensemble des français y compris leurs propres salariés.

Ils ont imaginé faire travailler ces derniers tout en les maintenant en chômage partiel.

Une nouvelle traduction du travail à temps partagé.

Bien sur, le célèbre syndicat patronal dit que là il n’y a pas de quoi fouetter un chat.

Ailleurs, l’on pas de quoi casser trois pattes à un canard.

En effet, jusqu’à preuve du contraire, ces patrons scélérats restent majoritairement minoritaires.

Peut-être, mais alors pourquoi n’être pas aussi magnanimes lorsqu’il s’agit des salariés notamment des chômeurs qui auraient, selon eux, fauté ? Les patrons sont pourtant les premiers à râler qqu’ils paient trop de charges et d’impôts.

Mais dès qu’ils le peuvent ils se jettent impunément sur les subventions d’État.

Ils avaient fait appel en espérant être entendus.

Ils l’ont été au-delà de leur espérance puisque leur durée de confinement a été élargie.

Bien, sur, leur avocat a beau jeu de dure qu’ils servent d’exemple ; que piocher dans la poche des comptes publics est moindre que de le faire dans la poche de son voisin.

Ému, l’homme si fier précédemment avait l’air complètement cassé.

Mais il aurait préféré que ce soit la sentence précédente au lieu d’avoir été (re)affirmée.

Enfin, une pub de la sécurité routière qui ne joue pas sur la peur.

C’est positif et cela rend confiant le conducteur qui n’y comprenait rien avant.

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