Fait bleu

Comme des bleus, il se sont fait avoir nos bleus face à une équipe non expérimentée.

Une équipe faite de tout jeune, en recomposition bat la coulpe à l’un qui se voyait déjà, avant, il est vrai, le commencement, championne d’une coupe du monde comme leurs anciens.

Nous devions voir, nous avons vu, espérons que nous verrons bien mieux.

L’un cependant s’en sort très bien, toujours le même.

Un vrai très jeune qui a déjà l’étoffe d’un ancien ; espérons qu’il vieillira bien dans son futur.

A vrai dire, c’est le genre de petit gars parfaitement insupportable pour les autres.

En effet, il vient du fin fond de la zone d’un milieu d’où d’habitude l’on ne s’en sort pas.

Et bien pas lui, lui bien chapeauté s’en est tiré.

Ce qui permet à certains de dire que si l’on veut l’on peut.

Non mesdames messieurs certains, il y en a plein qui veulent en sortir.

Mais, sans coup de pouce réel du destin, c’est impossible.

Aussi, au lieu de fermer les yeux et invoquer la bonne mère inexistante, il serait bien que la société prenne leur sort entre ses mains pour leur donner toutes leurs chances ; ce serait bien.

Heureusement qu’il y aura bientôt dans le commerce international Henry et sa consœur dont on ne connaît pas encore le prénom, possible bêtes sexuelles si l’on programme pour faire car l’île aux plaisirs telle qu’imaginée par un fou du sexe risque bien de rester dans son cerveau à phantasmes.

Mais nous, l’on est content il nous reste notre clown d’Outre Atlantique bien décider à nous faire manger nos restes histoire de rappeler qu’il ne faut pas gâcher.

Il reprend d’une main, ce qu’il avait laisser croire donner d’une autre au petit matin.

Il se considère comme le patron de la planète et il entend bien le faire savoir qu’il a son savoir faire.

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