Mais si elle existe, même qu’elle devait comprendre qu’elle était aussi une entreprise pour survivre malgré la crise des donations dommage collatéral du Covid parmi tant d’autres.
Bien sur, cela fait réfléchir surtout si l’on a bien compris que, même au niveau de sa gouvernance, elle couvrait des actes très litigieux inadmissibles à l’encontre de populations qu’elle était censée aider.
On comprend que de mois en moins de monde veut adhérer à ces dérives dignes d’un autre temps que l’on ne voudrait pas voir pérennes.
Mais, si cette entreprise mais en parallèle les dividendes versés aux gentils actionnaires les seuls intéressement et participation donnés aux gloutons salariés, l’on adhère tout d’un coup.
Même si l’orthodoxie voudrait que les salaires desdits soient additionnés pour comparer.
Or, ce n’est pas une raison que de vouloir être conforme à la norme dictée par les puissants, surtout quand cela les arrange.
Que je ne m’abuse, le salaire est consécutif à l’établissement du bénéfice et il ne peut en être déconnecté alors que l’action participe au capital sans effet sur le bénéfice.
Pourquoi pas également y intégrer les dotations aux forces sociales et syndicales des entreprises, les cotisations sociales et tout le reste avec ! L’eau, ça coule de source mais ça va mieux en le dévoilant, c’est l’ensemble des émirats arabes unis.
Sa pierre angulaire financière est un trou de pêcheurs ayant trouvé leur pétrole à eux.
Ils se sont élevés et en ont fait autant de leurs bâtiments.
Mais, il leur manquait l’éducation, éducation des finances notamment.
C’est pourquoi, en son sein renferme les pires qui soient des finances mondiales.
Mais, par principe, qui réussit vite apprend encore plus vite ou meurt dans l’instant.
Ils savent aue contrairement aux apparences, ils sont fragiles et enviés par beaucoup.
Sans doute bientôt, chez eux, pourra-t-on dire « Ce n’est plus comme avant ».