Faire comprendre pour changer

Celle qui se voudrait égérie de la grande verte n’est pas franchement audible.

Certes, parfois un éclair de réalité dans ce qu’elle dit.

Mais, elle est tellement fâchée dans sa vie publique, la privée je ne connais pas, contre l’HOMME qu’elle n’est pas vraiment crédible dans sa passion.

Il semble que  pour elle, l’homme n’est bon à rien si ce n’est voué à disparaître.

Mais pour le moment, les besoins de procréations font qu’elle les verraient bien entassés comme les poules qu’elle veut libérer, pour uniquement les satisfaire.

Éventuellement, l’un d’entre aux pourrait être pris en charge par un dominatrice en attendant d’être rééduquer car, c’est entendu, l’homme ne vaut rien à l’affaire.

Or, il est clair que ce n’est pas le genre qui fait la bête sauvage, mais bien cette particule de pouvoir qui enivre l’esprit et rend inhibé la personne en possession.

C’est donc d’éducation qu’il s’agit et non d’éradication.

Pourtant, je serais avec elle sur le fait qu’il y a urgence à ce que nos établissements officiels prennent en charge immédiate de la conscience que cela suffit.

L’homme n’est pas le maître de la femme et que chacun doit respect à l’autre.

Il est important, que la personne bafouée, car si la femme est majoritaire, des hommes subissent encore plus dans le silence, soit correctement reçue dans les commissariats, écoutée et que sa parole ne se perde pas dans une main courante stérile.

Mais, dans l’histoire qui cause à ce jour, qui n’est pas que d’aujourd’hui, il est sain que la justice ce soit saisi pour découvrir ce qui s’est réellement passé même en dehors du fait qu’il y ait, a priori, prescription ou pas.

Dès son enfance, le petit garçon doit être fier de son corps, de ce qu’il est.

Non pas parce que son rôle serait de dominer son monde.

Mais parce qu’il est à l’égal de sa sœur petite ou grande.

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