J’aime le féminisme en ce sens que je pense sérieusement qu’il y a urgence à ce que la femme soit Homme.
J’ai bien mis un « H » majuscule à laquelle je tiens.
Comme pour faire le pendant de l’égalité de mise des droits de l’Homme.
Pas pour que la femme se mette à singer l’homme dans tout ce qu’il a de plus petit en lui.
Il ne s’agit pas non plus de faire un retour en boomerang pour que la femme puisse prendre la place de l’homme.
Mais, il faut bien que tout le monde comprenne que la femme et l’homme doivent vivre côte à côte sans penser religion qui voudrait que soit prise à l’un une côte pour créer l’autre.
Il est normal que la femme réclame la parité là où seuls les hommes se croient tout autorisé.
On les entend réclamer ce qu’il doit être et les hommes doivent entendre et accepter.
Pourtant, l’on entend pas trop ces mêmes féministes demander la même parité là où elles se trouvent légion.
Allez donc tenter jouer l’homme de ménage seul au milieu d’une troupe qui trouvera toujours à redire notamment qu’il s’agit là de leur terrain de chasse gardé.
Un peu comme les hommes sournois de le dire dans leur cuisine alors qu’ils ont tant aimé y trouver la maman petit.
Par ailleurs, autant les femmes ont-elles prise possession du pantalon, autant il est encore trouvé ridicule les hommes en robe.
Mais c’est seulement en Occident, à part le port de la jupe en kilt chez les écossais ou encore la soutane pour le curé, car en Orient ou en Inde, cette tenue ne semble pas être stupide.
La lutte pour ou contre le foulard en extérieur porte un débat sur la femme libre, elle fait ce qu’elle veut comme elle le veut, ou la femme dite soumise qui se laisse prendre par une idéologie ou un mari qui n’a rien compris.
Si la femme devait être l’avenir de l’homme autant que ce soit pour qu’il soit radieux.
