En Outre Atlantique, c’est le Président qui a nommé volontairement ses affidés dans son grand conseil des sages pour amener les lois à sa botte.
Et, même battu, les-dits font ce pourquoi ils ont été choisis.
Là-bas, en Méditerranée, c’est le Président, toujours démocratiquement élu, qui fait passer une loi aux forceps pour amoindrir les pouvoir de ses sages.
Le point commun entre ces deux pays ? Un retour fissa de la droite extrême désireuse de se faire passer pour l’extrême droite ; à qui le tour ? Les forces de l’ordre sont composées de drôles de gens.
Ils n’ont de cesse de se plaindre que la justice ne soit pas plus efficace pour mettre en prison les délinquants.
Mais, dans le cas présent, ils regrettent la rapidité d’exécution d’un des leurs qui s’est rendu responsable de graves actes, en exercice, sur un quidam par passait par là sans qu’il lui soit retenu quoique ce soit de répréhensible.
A moins que le délit de sale guerre fasse partie de leur monde.
Mais leur chef est bien ennuyé : pourra-t-il maintenir son soutien au gouvernement dont il est, pour la sévère poursuite des arrêts de maladie dispensés un peu trop n’importe comment.
Va-t-il mettre en place un amendement spécifique pour protéger ses ouailles ? Lorsque le réélu à faible majorité, s’envoie en l’air, sa première dame va dire au revoir à son filleul.
Gentil panda qui s’en va dans ce qui aurait dû être son pays natal pour aller se reproduire en pays conquis.
Outre sa tendre marraine, qui décidément ne sait que faire lorsque son maître est absent, le gentil panda laisse derrière lui ses parents et sa sœur.
Dur, dur, l’émancipation ; l’on ne peut que penser à ses orphelins qui sont jeter à la porte de leur établissement dès que son venus leurs 18 ans.
