Non content de rester en poste envers tout et contre tous, il a trouvé bonne excuse qui l’arrange pour faire son vrai choix de premier ministre.
Jamais, il n’a eu l’intention de nommer quelqu’un de la gauche, lui qui en est sorti par la voie trahison.
Aussi, par un tour de passe-passe d’une joueur de bonneteau, dont les vrais voyous professionnels se sentent désormais tout petit, il a fait dire, dans un grand cirque de personnages pas comiques, qu’un 1er de gauche s’était la porte illico et presto.
L’excuse du rejet de ce dernier est un leurre puisque pour le faire, l’extrême droite même accompagnée de la droite extrême, trahissant tout ses engagements, ne pourrait être majoritaire.
Pour cela, il faudrait que ce qu’il reste du parti gouvernemental, dont la quasi totalité des députés ont été élus grâce qu vrai front républicain de rejet de l’extrême droite, porte ses voix à cette aréopage droitier qui, hier, les insultait proprement, voire salement.
Afin qu’un gouvernement de gauche ne soit pas souillé par une censure du parlement, le encore chef de l’état, qui abuse de sa position comme un grand dictateur, décide de censurer lui-même la gauche.
Qui est le chef en France ?? Lui, car la Constitution le veut ainsi.
Mais l’incapable de presque tout, seulement capable de ruiner la France pour sauver ses si chers patrons, s’est montrer à la hauteur de ses erreurs.
Persistant, il risque de réussir à mettre dans la rue des millions de mécontents qui pourraient bien se transformer en mouvement comparable aux gilets jaunes même s’il semble bien que l’extrême droite et ses complotistes ne viendront pas.
Le sort est jeté, la table n’a pas été balayée, c’est sans doute le parti arrivé en troisième qui tient les cornes de ce nouveau gouvernement.
Mais quand, j’ai entendu celui qui tient désormais l’Intérieur, j’ai hurlé non.
Je l’avais confondu avec cet autre leader de groupuscule d’extrême droite.
Tout le monde peut se tromper.
Mais je maintien mon refus devant cet homme qui ne vaut pas mieux.
