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Et si on parlait sous ?

Je me souviens d’un temps où j’étudiais le Risk Management. La partie financière prenait une place prépondérante.

En effet, dans les grosses entreprises où sévissent ces hauts calibres, aucun projet ne passe s’il ne prouve pas, sur le papier au départ et dans les faits par la suite qu’il rapporte seul de l’argent.

Aussi, les risk-Managers ont-ils appris à prouver et dénicher les bons projets.

Il en est donc des assurances.

Depuis longtemps, il avait été constaté que les petits sinistres, surtout en automobile, étaient récurrents d’année en année.

Ils ont donc étudié avec précision, l’intérêt qu’ils avaient de laisser ces risques l’assureur.

Or, grande a été leur surprise que ce dernier continue de couvrir des risques leur coûtant fort cher.

Non pas la couverture par elle-même, mais plutôt l’ensemble des frais de gestion pour y faire face.

Il a été donc décidé pour les plus avertis de laisser l’assureur couvrir s’ils n’étaient pas capable de gérer eux-même pour moins cher.

Et très rapidement, ont-ils opéré un mix d’une franchise plus élevée.

Ce qui a eu pour conséquence  des frais toujours plus élevés pour l’assureur insouciant et des gains pour l’entrepreneur avisé.

Et, a montrer l’exemple devant des assureurs qui n’en peuvent, de plus en plus de particuliers font preuve d’audace pour obtenir de meilleurs garanties au plus juste prix sans arrogance sur les frais de gestion.

Ces tentatives ont été réunies sous le label d’assurances collaboratives.

C’est à qui se rassemblera pour former une communauté d’intérêt et se présenter en force devant l’assureur.

Tous les bons coups sont de bonne mise.

Le simple regroupement pour obtenir des rabais en fonction du nombre d’assurés.

Plus efficace, l’association d’un groupement avec cotisation obligatoire.

80 % resteront entre les mains du groupement pour régler le plus rapidement possible et sans contrainte les petits sinistres ou tout simplement les franchises.

20 % iront à l’assureur pour les risques plus importants que ne peut pas accepter la communauté.

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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