Et que vivent nos libertés

Il est difficile de réagir, de savoir comment faire devant des actes tels que subis lors de la décapitation d’un professeur par un tordu de son dieu – je ne suis pas croyant, mais je pari tout de même que son maître à penser de la-haut ne lui a jamais demandé de faire cela, ni même inspiré.

Au moment de l’impact sur ma prise de conscience, la réaction a été pensée de dire œil pour œil et d’agir en conséquence, renouveau de la loi du talion.

Mais non, il ne faut surtout pas.

Car agir ainsi, prouverait que nous sommes comme eux, incapables de maîtriser la face sombre qui devrait restée enfuie dans le fonds de nos oubliettes corporelle : Halloween n’est pas une excuse.

Il faut face à ces gens, montrer leur petitesse, leu faire savoir qu’il ne pourront jamais vaincre la culture occidentale, puisqu’il s’agit bien de cela dans leurs fatwas non maîtrisée, et plus particulièrement la France.

La France parce qu’elle est l’origine des droits de l’Homme (en fait dans la réalité de l’esprit de l’être humain), d’une République fière de sa laïcité, de sa défense des Libertés Individuelles.

Libertés individuelles que sans cesse l’on essaie, et arrive le plus souvent, à intégrer dans la collectivité pour donner sens à notre savoir vivre ensemble.

Non, ce n’est pas en mettant des barrières, en refusant l’autre, que la protection sera efficace contre ces véritables mécréants abusant de textes dont ils ne comprennent pas le sens.

Il faut savoir faire et faire savoir notre modèle de vie.

Il faut leur faire voir le monde des lumières seul vrai rempart contre les forces obscures des extrêmes bruns qui souvent essaient de prendre nos couleurs comme le ferait un caméléon.

Qui souvent envahissent nos foyers, nos crânes, comme le ferait le coucou.

Seul l’enseignement d’un savoir libre dès le plus jeune âge mettra fin à cette caricature de vie sainte.

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