Réflexions

Et pendant ce temps

Votre chambre où les résidents ne s’endorment plus ont donné quitus à vos chefs d’entreprises de ne plus prendre de gants pour vous virer.

Car il est vrai que nous marcherons plus vite si meilleure est la flexibilité.

Désormais, le patron sera uniquement comptable de ses actes via un barème qui certainement ne sera pas fixé abusivement.

C’est bien, nous saurons très vite officiellement combien vaut notre chair à canons.

Et puis, c’est super (à défaut de diesel toujours découvert d’une pollution dont on ne connaissait ni l’odeur ni la cause lorsqu’il était en odeur de sainteté dans les hautes sphères des 4*4 atmosphérisés), le travail des juges ne faisant plus appel à une certaine intelligence, ils pourront être rapidement remplacé par des robot de l’ère 3.0 .

Toujours cela de gagner pour renflouer un déficit récurrent.

Et pendant ce temps-là, les franciliens faisant la navette pour flâner de banlieue en banlieue en prenant Paris pour cible, c’est capital, pourront, avec leurs amis voyageurs des aéroports, prendre tout le temps de la réflexion d’un bien-être et que sautent les bouchons d’une libre circulation.

Dernière minute d’un horaire champs Élysées chronométré, la réception d’une proposition de crédit immédiate, fini la paperasse, à un taux cadeau de joyeux fêtards, de 13,69%, alors que l’inflation est de 0,6% à peu près selon qu’il pleuve, neige ou vente, non usurier tant ces gens-là voient plus grand.

Ce n’est pas moi qui le dit mais l’observatoire français des conjonctures économiques de sciences Pô, relayé par un hebdo peu connu pour sa gauchisation, 46% des baisses d’impôts non reportées devant l’urgence d’un pouvoir d’achat atone et d’une promesse seigneuriale exigeant d’être tenu compte, seront captées par 10% des français les plus riches.

Et comme l’on sait que ces derniers n’ont cessé de crier à corps et à qui, qu’ils n’ont de cesse que de sortir hors France sauf d’y retourner pour profite de la bonne santé de notre Sécurité sociale.

Au balcon les plus hauts et en marche les soldats au pas camarade…

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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