Et où est la boussole ?

Il paraît que les verts français se germanisent.

C’est sur que ça mousse sec chez eux.

Mais, il y a une grande différence entre ces deux partis.

C’est leur manière de porter leur toast.

Certains invitent tout le monde à faire, d’autres exclus ceux qui ne penseraient pas bien.

Devinez qui.

Ce qu’il y a de bien dans cette période électorale, c’est que les médias sont obligés d’accorder le même temps de parole à tous les candidats.

Fini l’influence néfaste des sondages, commence la proportionnelle où toutes les tendances peuvent se présenter ; du mois si les candidats ont assez d’euros de côté pour prétendre à leur (re)présentation.

Il est évident que je n’adhère pas à toutes les mouvances en lice.

Et pour certaines, parfois, j’aurais plutôt tendance à fermer mon poste si la curiosité malsaine ne l’emportait.

Mais, franchement, très franchement, certains candidats que l’on entend pas tous les jours méritent que l’on pousse le ton pour comprendre.

Et, des fois, j’aurais tendance à espérer un(e) candidat(e) qui sache faire la synthèse de toutes les bonnes paroles, idées et propositions faites par les autres.

Sauf, je l’avoue sans honte, ceux des habituels conteurs qui nous ont tout de même pourri la vie de libre citoyen républicain.

Bien joué, le chef d’Outre Atlantique dit ce qu’il pense du potentat de l’Est qui se voudrait tsar.

Il faut bien que quelqu’un appelle un chat, un chat.

Et, en contrepartie diplomatique, l’autre chef de France, qui s’aimerait être de l’Europe en son entière, dit qu’il ne dirait pas car il conserve la possibilité de rencontres amicales mais fermes avec ce boucher menteur.

Ce totalitaire n’hésite pas à tyranniser ses cadres de haut vol.

Ces derniers en retour n’osent plus lui dire le réel.

Ainsi tout le monde dort sur ses deux oreilles.

En France, les renseignements circulent plus vite que les autos dans Paris, Capitale du pire.

Quitter la version mobile