Et le business alors

On parle beaucoup du marché illégale de cannabis notamment dans les cités désertés sans être désherbés.

Et le ministère de l’Ordre de chargé sus sur cette soi-disante drogue.

Par contre contre les drogues légales, pas de soucis continuez à vous défoncer.

Vous aurez juste affaire à quelques pubs moralisatrices.

Par contre l’alcool est sur tous nos chemins : chemins des vins en Bourgogne, ou routes en Alsace et bordeaux.

Sur ces terres, on se salue en tchin tchin, bon apéro.

Mais si l’ordre ne passe pas par là, c’est que peut-être ces produits concernent d’autres ministères… et que dire des médicaments ? C’est bon pour la santé mais avec beaucoup de modération.

Mais ça rapporte sans modération à des capitalistes qui veulent notre santé, à  la tienne.

17 % de ceux qui prennent certains médicament contre la douleurs en seront dépendants pour toute leur vie.

Et certains en mourront.

Dommages collatérales diront-ils peut-être.

C’est marqué sur nos papiers illisibles emballés avec le produit.

Pas de notre faute si le médecin prescrit.

Tant pis si le nombre d’atteint est supérieur à ceux, par exemple, des victimes de la route.

Mais c’est plus sympa de lutter contre puisque l’on peut taxer un  peu plus les contrevenants.

Et puis eux aussi participent bien .

Oh, bien sûr, il y a bien des agents qui essaient de lutter.

Mais les moyens manquent contre une industrie qui rapporte bien plus.

La drogue ne vaut que si elle est contrôlée par les gros en place.

La petit herbe, elle par contre, peut-être sans méchanceté aucune, être élevée par le premier quidam venue avec le vrai risque d’une économie interne : je cultive, je consomme, point barre.

Ca n’intéresse pas la Capital.

Ah, j’ai eu à connaître de la possibilité de faire cumul de sa retraite avec d’autres activités professionnelles.

Mais c’est tellement complexe que je n’ai pu le faire à temps.

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