Décidément, même dans leur rang, les forces de l’ordre ne sont pas aidés.
L’une des leurs, cheffe en son royaume, lance une notre qui prend service pour interdire la poursuite des individus faisant rodéos.
Il n’y a vraiment plus de justice.
Dans une ville moyenne d’Île de France, un usager constate, près du palais de justice, bien connu des délinquants et de ceux que l’on voudrait croire qu’ils sont, des véhicules en nombre et surtout en stationnement parfaitement interdits.
C’est à qui a posé son 4 roues juste devant l’entrée d’un passage pour piétons.
Faisant ainsi, les deux jambes ne peuvent plus circuler sans danger.
Et pour les landaus, fauteuils roulant, c’est l’interdiction de passer qui circule le plus.
Le plus invraisemblable, c’est qu’il s’agit des forces de l’ordre qui n’ont cure que d’assurer l’ordre public.
C’est vrai qu’en règle générale ceux là sont chargés du transport des délinquants à paraître devant le tribunal pénal.
Mais sans doute est-ce l’effet de la lenteur de la justice incapable, c’est bien connu, de rendre châtiment à ceux qui le méritent bien.
Le Danemark, partie entière de la communauté européenne, gouverné par des politiques de gauche, l’annonce haut et clair : ils ne veulent plus de demandeurs d’asile en leur pays.
Dehors les immigrés que l’on a pu intégrer.
Et vive les voix récupérer sur les forces d’extrêmes droites réduites à presque néant.
Mais, bizarrement, rien n’est dit sur l’immigration économique dont raffolent les gentils patrons soucieux de maintenir leurs marges.
Qu’il y ait, comme partout, des soucis avec ces personnes surtout celles qui portent comme étendard leur religion d’invasion barbare, c’est une chose.
Que l’on se refuse de porter secours à celui qui fuit la guerre, la ségrégation politique, le saignement des terres, la sécheresse ou qui veut simplement vivre autrement, est une honte pitoyable que l’on soit issue d’un peuple de gauche ou de droite.
