Et, il risque de rester

L’heure est grave. Ne le serait-il pas que je vous en parlerai quand même.

Avant même son élection, il avait fait preuve de sa fourberie.

L’être funeste apparaissait à petits pas sous couvert d’une mesure de costume noir, chemise bien blanche et cravate sombre.

Si le ramage semblait chantant ou du moins nouveau à nos oreilles, le plumage était sombre, très sombre.

Mais nos yeux étaient voilés pat l’immaculé blanc de son torse en avant.

Puis, dès son élection arrivé, il a (re)pris les symboliques d’anciens de ce poste pour faire voir ce qu’il était notamment cette procession inventée par un de très droit hébergé par les bons samaritains de la gauche.

Il s’est précipité à conserver ce qu’il y avait de plus en terreur fait par son prédécesseur : l’état d’urgence.

L’état d’urgence en période de terrorisme, puis l’état d’urgence en période de difficulté sanitaire.

Vous l’avez compris il s’agit bien de note illuminé et non du triste clown Auguste d’Outre Atlantique qui n’est plus en piste.

Il encombrera les coulisses dans l’attente d’un sinistre retour.

Mais nous avons suffisamment à faire avec le nôtre qui est loin d’une sucrerie pour vieille dame avide de rêver de beau gendre.

Cet homme n’a de cesse que de conforter la fortune économique des déjà riches en prenant au déjà pauvres.

Personne ne sait où il a planqué les 5€ mensuel pris à chaque citoyen recevant l’allocation logement par exemple.

Çà en fait du monde, peut-être la collecte d’une petite fortune sans effort.

Par contre, il a vivement intéressé ses pairs qui sont revenus avides de la bonne aubaine qui a mit terme à la menace d’être taxés comme de vulgaires salariés.

Il leur a sécurisé leurs capitaux en éloignant l’indigne impôt sur leur fortune à eux.

Bien sur, il a laissé celui de l’immobilier pour faire genre.

Mais quand on est vraiment riche l’on peut aisément choisir en connaissance de cause sa résidence principale.

Tant pis pour celui qui n’a qu’un habitat, il n’a qu’à vendre à meilleur riche.

Mais il a également veillé scrupuleusement à renforcer le pouvoir des forces dirigeantes.

Les entreprises peuvent désormais licencier qui elles veulent, il suffit simplement d’en provisionne au cent près le montant de l’enveloppe défiscalisée.

Mais en temps que premier de cordée auto désigné, il fonctionne à coup de comité de défense écartant ainsi toute démocratie.

C’est bien connu : l’on est toujours meilleur à ne pas écouter la pluralité…

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