Est-ce la parole ou l’arme qui tue ?

Fier de lui, l’homme qui a vu l’homme en triste auguste d’un clown rigolant en son miroir regardant.

Il est fort puisqu’il a obtenu contre une majorité, mais c’est sa notion du pouvoir comme tant de gouvernants ici-bas, l’argent nécessaire d’un mur de la honte dont les riverains s’en balancent bien d’ailleurs.

Avec l’aide de ses faucons faut que l’on s’amuse comme on peut, il part en bataille contre la terre entière afin de prouver qu’il est à la tête d’états les plus puissants qu’on se le dise jusqu’à la nuit des temps.

Il juge ses vins meilleurs que d’autres, que cela soit entendu.

Mais, sait-il qu’il faut en boire non pas la lie, mais juste avec modération.

Evin le bien nommé qu’il ne le savait pas encore, s’en retourne dans son pied de vigne.

Ainsi, il va-t’en guerre sans arrêter son char, il envoie ses torpilleurs flasher les routes des campagnes d’ailleurs, expédie franco de port ses taxes à tout va et parade sur les scènes dans tous ses états.

Et, il se gausse des dommages collatéraux qui pourraient toucher ses pairs, et non mères, puisque de toute façon il sera élu haut les mains et les cœurs devant une opposition que tout oppose.

Et de toute façon, le bon peuple armé ou non a toujours préféré l’original aux pâles copies de faux sosies.

La médecine est toujours égale à elle-même sur tout lorsque l’on veut sortir en obligation du parcours des généralistes.

Ainsi, un rendez-vous est pris en août pour un service de gynécologie permettant de rassurer madame sur son sort au fil des ans passés.

Celui-ci sera pour décembre, les places sont toutes prises avant.

Heureusement qu’il n’y a pas urgence, quoique celles-ci demandent un maximum d’attente de 5 jours tranquillement installé dans un recoin au vent de tous mais à l’abri du petit personnel qu’il y a de moins en moins.

Moi, ce que j’en dis, de toute façon, c’est une histoire de femme à laquelle je ne suis pas conviée malgré une nécessité de parité.

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