Le gentil préposé au patrimoine en a sa claque des beaux costumés, il croyait pouvoir faire passer sa noblesse sans crier garde à toi.
Il menace de s’éclipser.
Le beau nommé Outre Atlantique risque d’être dépassé par un décret attaqué.
Il ne fait vraiment pas bonne chance d’être parmi les élites du chef des gaulois illuminé.
Par contre, ses copains les vrais riches de ses amis continuent à battre des records mondiaux d’être les plus chouchoutés par nos belles entreprises cocorico de la plus grande dépense des bénéfices obtenus à la sueur de ceux qui travaillent encore pour voir s’envoler leurs heureux euros vers d’autres cieux sans frontière.
Le bouleversement des temps climatiques risque, sans grande surprise, d’annoncer une nouvelle inégalité : celle d’avoir ou ne pas avoir le droit de vivre tout simplement, de rester ou être chasser de ses terres ancestrales engorgées, de rester habiter un endroit encore plus sec que le plus sec des déserts.
Et cela de s’ajouter au moi je suis riche, toi pas.
Attention, de faire attention à ce que les paumés ne s’aperçoivent tout d’un coup qu’ils sont bien plus importants que les vernis ; ceux-là pourraient craquer.
D’une pub que j’ai revue d’un autre côté de l’œil qui voit autrement.
C’est une journaliste qui coupe court à une interview qui tourne trop bien pour une soi-disante victime bien pris en charge par son assureur.
Où avec attention, l’on vérifie une fois de plus l’intérêt de mal être et plus encore qui fait vivre, voire une certaine fortune, les journalistes en manque de bonnes nouvelles qui pourraient les ruiner.
Disons-le tout net, la promesse d’un aspirateur sans sac ne supprime pas la poussière car seul le sac s’en va.
Et pour ceux qui pensent en faire l’économie ressemble aux possesseurs de véhicules diesel achetant plus cher pour économiser sur un avenir incertain.
Pas d’erreur, il y a des voleurs.