ÉPARPILLÉ

Viens, sur mon quotidien

Prendre mon chemin, viens

Je ne te ferai rien

De moins que bien

Au quotidien

Viens, sur la route de mon chemin, viens

Tu verras t’y seras bien, bien

Promène-toi sur mon boulevard

Sans aucun cauchemar

Nuit, jour et soir

Les citadins en chemin

Quête d’un soir bien

Sourire d’un destin

Viens, viens, t’y seras bien

Dans mon quotidien qui peut-être le tien

Mais oui

Si tu le dis

Le tien peut-être aussi le mien

Viens, viens, nous serons bien

Si nous le voulons bien

Par désespoir, c’est le noir,

Sur un boulevard, explosé

D’un désespoir, au revoir

Pourtant au lendemain espoir retrouvé

De la lumière, tu espères

Revoir un ton espoir

Viens, viens, au quotidien

Sécurité de nous retrouver

D’un exercice retrouvé

De toi, j’étais éloigné

Essentiel, est-il là

De s’être encore une fois

Retrouvé sans chercher

Continuer, pour un lendemain, recommencer

Viens, valse en rond,

La tête perchée sur l’étoile sans voile

Si tu n’y es pas

Je viendrais te retrouver

Matin trempé, mouillé

Sentiment de sang, sonné

Esclavage, sans âge,

Religion bidon

Forcené, explosé

Vie broyée

Reviens, avec moi et toi

Nous serons bien

Pour un temps, passé, une éternité

Jusqu’à la fin de notre destin

Viens, reviens…

République prendra place

Ne pas se laisser par les voraces

Éparpiller, écarteler par des forces

Toi et moi, ayons la force

Ne pas désespérer

Croire, aimer

Reviens, reste

Je te déteste

que serais-je

si tu n’es plus

où irais-je

sans t’avoir vécu

que deviendrais-je

si tu n’es plus

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