Entrez, entrez…
C’est le grand cirque de l’Illuminé.
L’un fait fort de savoir qu’il est représentant de la Nation avec une telle force que l’on croirait qu’il en douterait s’il n’avait une haute opinion de lui-même.
L’autre, de l’autre côté de l’extrême jeu de l’échiquier républicain de faire connaître avec force sa désapprobation de l’action judiciaire qu’elle connaît bien.
Et au milieu des forces convergentes pas au milieu du tout qui se gaussent, se vengent de propos employés naguère par le premier lorsque cette mésaventure leur était arrivée.
Le petit Napoléon d’extrême gauche a beau le dire, il n’est pas la République, il n’est que le représentant de ceux qui l’ont élu représentant de la Nation.
Et son comportement, je j’ai déjà dit, mais réitère mes propos, ressemble de trop à ceux dont il s’était gaussé fier de ce qu’il était, encore une fois comme toujours.
Mais le plus troublant est qu’il marque la preuve qu’entre les deux extrêmes la feuille de papier de cigarette n’a plus sa place sans pour autant gêner en quoique ce soit les gouvernants.
Piètre spectacle qui vont encore un peu plus détourner les opprimés du chemin qu’ils devraient emprunter s’ils veulent, un peu, pas beaucoup, espoir, s’en sortir un jour.
Les urnes prochaines risquent d’être bien vides de toute surprise positive.
Faire savoir qu’il est victime d’un complot, d’une machination comme savent si bien le faire ceux qui tiennent le glaive de la justice, les armes changent mais ont toutes la même destination, est de bon ton.
Mais le faire comme il l’a fait manque d’un savoir faire qui ne sert pas les idées qu’il devrait veiller à porter plus haut.
Si ce type devait avoir un jour de plus hautes responsabilité ferait ressembler ce pays à une dictature d’un arbre dont les fruits risquent d’être pourris.