Entre Soi

Dans l’un de mes hebdomadaires préférés, je me suis particulièrement arrêté sur un des articles dont je n’avais pas, me semble-t-il, eu coutume de lire le ton.

En effet, il est entièrement à charge d’un personnage dont jusqu’alors je n’avais eu connaissance ni d’Ève, ni d’Adam pauvre pomme que je suis.

Mais, il faut bien dire que je n fais pas parti de leur grand monde style école alsacienne envahissant depuis des décennies le VI° arrondissement de la capitale où chaque bien né rêve d’en être, ni de Sciences Po pour laquelle il faut avoir fait l’Ena pour comprendre les questions posées au concours d’entrée.

Je me suis simplement contenter de Sup Co de Paris et encore par la porte de service, moi dont les plus éminentes études ont été celles retenues dans les rues de villes du 9-3 comme l’on dit aujourd’hui.

Enfin, j’ai effectivement eu affaire à ce genre de personnage, et l’on peut dire que la convivialité a été sauvegardée par le miracle de frontières jamais vraiment franchies.

Au-delà de la charge, il semble étonnant que par deux fois, il est fait référence à l’un des actionnaires privilégiés dudit journal écrit.

Cela l’est également lorsque l’on explique qu’il s’agit d’une vieille rivalité entre deux qui avaient tout pour envahir Paris au-delà de leur arrondissement déjà décrit.

Que l’un, qui n’a pas eu l’honneur de connaître les ors des palais gouvernementaux, tente l’essai de se venger par livres interposés édités par des éditeurs du coin de la rue, libre à lui.

qu’il continue sa diatribe au travers de conférences données à des gens complaisants sous couverts d’un appel à la révolution devient intéressant.

Intéressant car cela rappelle les querelles d’anciens barons politiques qui ont amené la révolution sans pour autant chasser les privilégiés puisqu’il n’était pas question de changer de classe.

Il n’y a qu’à la Ratp qu’ils ont osé.

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