PolitiqueRéflexions

Entre gens de bien

L’impérieux fou de communication n’aime pas être interpellé sur ce qui n’est pas son propre terrain.

Aussi, considère-t-il toute autre moyen de faire valoir ce que l’on a à dire, non pas illégitime, ce serait anticonstitutionnel, mais non démocratique.

La démocratie à sens unique est-elle encore ?

Et pour bien faire comprendre le pourquoi du comment de celui qui décide, il essaie d’étouffer dans l’œuf toute contestation non approuvée par lui-même seigneur élu.

Ainsi, ces routiers étaient bien braves d’avoir accepté d’écouter le représentant d’un de ses ministères enjoués, rassurants.

Mais, ils ne le sont plus de n’avoir pas compris la langue de bois versée et d’oser le dire à la face du monde interrégional français.

Ils seront punis, la police sera là pour les saisir, les Crs qui n’assuraient plus sa protection, assurent le lessivage de bitume.

Et s’ils comprennent tout rentrera dans l’ordre, l’impérieux ébahi devant sa populace toute prosternée.

Il pourra ainsi dialoguer d’égal à égal avec son homologue, tout proportion comparative réservée d’usage, joueur de Corée du Nord.

Comme à ce jour d’écriture vaine, le mouvement sans prendre d’ampleur arrive, néanmoins, à bloquer quelques raffineries en puissance, il semble bien que la bonne parole n’est pas portée à la mesure de son espérance.

Mais si j’ai un conseil avisé à lui donner, sans demander une permission que je ne recevrai pas, je lui dirai de mettre sa ministre au travail pour condamner son copain le grand syndicaliste pas foutu de faire régner l’ordre chez en prétextant de fichues prérogatives dans des textes de statuts qui sentent bons la naphtaline.

En fin quoi, un patron c’est patron et le reste, surtout s’il a l’argent avec ou les voix d’électeurs d’une élection non contestée.

Bernard est au tapis, on ne tire pas sur un homme de bonne famille à terre ; il pourra dormir tranquille sur ses deux oreilles que l’on sait chastes.

Le footballeur royalties au plus fort de notre market libre service a les moyens de se payer une mineure pour procréer, dans l’oseille il y a du fer, et il faut en croquer…

Jean-Claude Barousse

Photographe autodidacte, sans renier son passé “argentique” il a immédiatement pris le “virage numérique” et s’exprime principalement au travers ses images de paysages naturels et urbains. Il publie des articles et tutos dans des revues photographiques notamment les éditions Oracom et pour le compte de RiskAssur. Réalise des chroniques dans un site forum “Photophiles.com” et aide les membres de son forum “PhotoClub” à progresser dans leur pratique photographique. A la demande, il expose ses photographies originales individuellement ou lors de manifestations collectives et donne des cours sur les prise de vue et le développement numérique. Est membre de diverses association d’artistes picturaux”

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