Et viennent ensuite, 10 infos très gênantes sur le copain de notre impérieux bien aimé qui se présente pour être à la tête de parti de gauche déclinant.
Décidément, il y a un os comme pourrait le dire celui qui prend son potage à la fourchette.
On nous farci la bobine de la fée électrique pour nous dire que c’est la solution idoine pour nous sortir du fatras de misère que la Terre bien ronde ne voudrait plus de nous pauvres terriens.
Nous acceptons de passer sur la problématique du nucléaire tout en sachant à quelle explosion on s’expose.
Et voilà maintenant que certains s’interrogent sur la réalité de l’économie verte réalisée.
En effet, il semblerait qu’au stade actuel, les jeux olympiques sont pour bientôt, si l’on considère l’ensemble du cycle de vie d’une bonne vieille récente batterie utilisée pour bouger les tas de ferraille que l’on nous propose, la pollution accumulée serait nettement supérieure à celle d’une bonne vieille diesel même pas récente !
Et encore, les fabricants de toutes sortes de ces nouvelles voitures sortant de terre plus vite que n’importe quel champignon, mettent des tas d’outils informatiques pour que l’utilisateur soit le plus connecté possible afin de vendre le plus de véhicules que nécessaire : l’on reste, quoiqu’il arrive un commerçant.
Et que faut-il pour que vivent ces réseaux connectés sans dysfonctionnement ?
Des tas de bidules, machins choses, dont la particularité est l’abondance de matériaux rares, et chers par essence, que l’on extrait de notre chère vieille Terre, via les mines souterraines dont le mode de pollution n’a rien à envier à nos vieilles mines de charbons si utiles pour faire fonctionner, en Allemagne par exemple, rien que pour nommer les bons élèves, les grandes éoliennes dont on ne sait pas si l’on pourra en fabriquer suffisamment pour les besoins restant à couvrir…