Hier encore, ils nous inventaient les lots d’un même produit dont le prix était plus élevé que la somme réunie desdits produits pris séparément.
Puis, sous couvert de défense du pouvoir d’achat, ils mettaient en circuit des produits conservant leur emballage d’origine avec moins de contenant mais au même prix qu’avant.
Maintenant, ils proposes à qui veut en disposer des contenant plus grands que les originaux, toujours en magasin, mais avec un prix bien plus élevé au kilo.
Ni vu, ni connu, le consommateur cherche toujours trouver qui est le moins cher.
Et, ce ne sont pas les salariés qui aideront sachant que dans beaucoup de cas, notamment les caissières, ils ne sont plus salariés du magasin, mais ils dépendent d’un organisme indépendant.
Au distributeur le beurre, aux salariés la casse sociale.
D’ailleurs, une enseigne qui vient de s’implanter veut faire mieux qu’une autre de très grand discount – du moins paraît-il.
Elle veut vendre ses produits moins cher que moins cher.
Et, pour cela, elle pratique un social audacieux.
Ses employés sont à la corvée 24/24het 7/7j.
Pour être certain de leur bonne disponibilité, l’employeur offre le gîte sous couvert d’un matelas jeté à même le sol d’un dépôt quelconque.
Mais que fait l’état ??? Il s’en fout pourvu que les gens bossent et participent au plein emploi.
Ainsi donc, la sororité serait l’expression de la solidarité féminine.
Il n’y a pas d’équivalent masculin, mais personne ne dit rien.
La seule possibilité serait « adelphité ».
Ce n’est pas un gros mot et il va à tout le monde.
Mais, il est vrai que quelque soit le genre, la tendance forte qui nous envahie est l’entre-soi pour arriver au terme fatal de l’exclusion de l’autre différent…