En décroissance, on accélère

Les fous de l’économie ne sont pas avares d’idées lucratives pour faire tourner la machine à produire.

A l’heure où plusieurs s’interrogent sur la nécessité de calmer le jeu de la croissance pour permettre de vivre plus longtemps, les ayatollahs de la finances à gros milliards de dollars annoncés veulent mettre à disposition des banques centrales des états un capital.

Celui-ci serait destiné à être directement versé aux consommateurs pour qu’ils relancent immédiatement leur consommation sauvant ainsi un régime à bout de souffle.

Désormais, l’économie va vers les crédits négatifs, le don monétaire pour que les ménages ne soient pas étouffer.

Ceci est bien la preuve que les gros milliardaires, champion de la captation monétaire sont incapables de dépenser leur capital et asphyxie ainsi les populations en manque.

Certains appellent cela l’économie hélicoptère, d’autres le ruissellement, ou encore une sorte de forme de poujadisme que les syndicats désigneraient comme paternalisme.

Toujours est-il que si la monnaie ne circule pas, elle ne sert rien.

Déjà les voleurs le savaient bien et faisaient leur office en confisquant les bas de laine ou en soulevant les matelas.

De mêmes entre les édiles il ne fait pas bons de révéler les idylles.

Surtout lorsque cela peut déranger princes et consorts (ou pas d’ailleurs).

Ainsi celui de la reine qui trône sur le Brexit dit avoir regretter d’avoir revu un prédateur sexuel après qu’il eu été jugé pour actes délibérés sur mineures.

Mais, il est vrai qu’il a une excuse en or : il s’agissait, puisqu’il est mort pendu le ballot, un milliardaire bien en cour.

Et chacun sait que dans ce milieu l’on joue de l’entre-soi et pas moyen de s’éviter tant le monde des pauvres s’étend et réduit le terrain de chasse en jeu initial à moins que de vouloir aller sur des terres vierges si chères aux esprits aventuriers.

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