Une mère de famille, sans doute blanche, a perdu l’esprit lors d’une vidéo effectuée en direct par son jeune fils comme il se fait désormais couramment sur les réseaux sociaux.
C’était dans un parc où le temps permettait aux citadins de quartier, voire plus, de s’égayer.
En voyant un petit groupe de jeunes enfants, la mère, donc, ose cette saillie « oh comme des singes ».
La vidéo fait virale, et le déchaînement arriva.
Car, il ne s’agissait ni de blanc, ni de beurre, la communauté concernée dans ce qu’elle a d’extrême est partie en tsunami.
Cette femme n’avait pas à dire ce qu’elle avait dit.
Ni même d’ailleurs le penser car l’être humain, l’humanité a bien évolué.
Mais cette haine n’entraîne-t-elle pas une seule chose ? La haine qui nous ramène à nos origines Pourtant, lorsque j’entends porter par le vent du mépris « Petit blanc », je ne prend pas ombrage.
Je continue ma vie pour prouver que les croyances des uns n’atteint pas ma volonté du partage des meilleures conditions possibles.
Mon jeune voisin, m’interpelle un bon matin d’une journée refroidie par l’hiver ayant tout de même du mal à s’installer nous ne sommes pas Outre Atlantique – pour me faire part de ce qu’il vient d’apprendre.
C’est désormais une habitude que d’échanger quelques propos bien sentis sur nos alentours n’ayant pas l’audace du bistrot d’à côté que nous laissons à plus assoiffés que nous.
Il me dit ou plutôt me questionne : »savez-vous que dans certains tribunaux les juges ne sont pas professionnels ? ».
Aussitôt, pour lui faire voir que je ne suis pas né de la dernière pluie même si cela se voit désormais à mon physique, je lui réponds à l’affirmative pour les tribunaux du commerce à tout va.
Et, de plus, ils sont bénévoles.
Mais pour en faire partie, il faut avoir exercé dans un des métiers correspondants.
Dommage que pour les prud’hommes il n’y ait pas place à des anciens chômeurs…