En 2020, vers quelle assurance vie se tourner ?

Si 2020 avait débuté sous de bons augures, rien d’extraordinaire, mais une économie qui fonctionnait correctement, un taux de chômage qui commençait à baisser, un endettement de la France maîtrisé, un retour progressif à l’équilibre des comptes la Sécurité sociale, un CAC 40 au plus haut … avec – comme toujours en France – des contestations, notamment contre la réforme des retraites.

En ce début d’année, nous entendions parler d’un nouveau coronavirus, présent loin de chez nous, dans une ville en Chine, provoquant une sorte de gripette.

Mais, voilà, cette gripette, c’est rapidement propagé, on lui a donné le nom de SARS-CoV-2 provoquant la Covid-19, une maladie très contagieuse, pouvant donner de lourds symptômes, allant jusqu’à la mort.

Ce coronavirus a provoqué une pandémie mondiale, obligeant la France et d’autres à un confinement. En France durant 2 mois, bloquant presque totalement l’économie, obligeant la France à emprunter et creuser son déficit, à l’assurance maladie de prendre en charge les malades et de voir son équilibre repousser à plus tard.

Résultat, le CAC40 s’est effondré, passant de plus de 6 000 points à moins de 4 000 au plus bas, à une décollecte en assurance vie (moins de cotisations que de prestations), mais – à cause du confinement – poussant les Français à une épargne forcée qui s’est retrouvée sur les comptes courants et sur le Livret A.

Face à l’incertitude des prochains avec une possible seconde vague du SARS-CoV-2, une récession économique, où placer son argent.

Si on ne veut prendre aucun risque, sans laisser totalement son argent dormir sur son compte courant, on peut le placer sur un Livret A, ou sur des comptes bancaires rémunérés (des livrets bancaires) mais avec un taux (net de toutes charges) proche ou en dessous du Livret A.

Si on veut prendre des risques, les placements en Bourse sont une possibilité et une opportunité avec un CAC 40 encore très bas. En sachant que si les gains potentiels sont importants, les pertes le sont tout autant.

Reste le placement préféré des Français, à savoir l’Assurance vie, qui n’est pas une assurance mais une forme de placement financiers bénéficiant de certains avantages fiscaux, mais encore faut-il faire un comparatif assurance vie.

Il existe une assurance vie à risque « zéro », c’est l’assurance vie en euros, mais avec des taux d’intérêt très bas, elle rapporte de moins en moins, en couvrant, aujourd’hui (net de toutes charges et taxes) à peine l’inflation.

Les assurances et banques rechignent à ouvrir des contrats 100% en unités de comptes, ils poussent vers l’assurance vie en unités de comptes.

Avec des contrats, l’établissement financier ne garantit pas une somme d’argent, mais un nombre d’unités de comptes. L’argent est placé sur des supports financiers, généralement en Bourse, et la valeur des unités de comptes varie de jour en jour en jour.

On va choisir son assureur vie en fonction des frais de gestion (frais d’entrée, puis frais d’arbitrage), mais également en fonction des types de contrats qu’il propose.

C’est-à-dire des risques que l’on est prêt à prendre, un contrat à faible risques assurera une rentabilité basse, un contrat plus dynamique pourra engranger une forte rentabilité une année et des lourdes l’année suivante.

Même si un contrat est à perte, tant que l’on ne vend pas, on ne perd pas. L’assurance vie est un placement à moyen et long terme, que l’on prévoit pour sa retraite ou pour ses héritiers.

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