Élu, c’est incertain

Pour être confortablement élu, il faut savoir regarder où cela se passe bien.

Et, sans surprise, seuls dans les régimes totalitaires, les puissants peuvent rester autoritaires autant qu’ils le veulent.

Le bon peuple demande simplement du pain et de vin à ingurgiter en toute sécurité physique ou non.

Et si par malheur, malgré les non efforts l’insécurité ne se répand pas, l’on aggrave l’existant grâce aux média, aux spécialistes de la communication, qui, comme tous les autres, veulent vivre également.

Et ne croyez pas à un complot universel ou même localisé.

C’est déjà tout petit que vous vivez en cellule fermée où souvent les parents voulant avoir le dernier sans pouvoir l’exprimer à bout de nerfs, lancent une gifle bien sentie, à leur progéniture si bien aimée.

Et n’allez pas leur dire qu’en règle générale, l’enfant devenu adulte réitère ce qu’il a vécu petit.

Ainsi, les politiques, pas plus stupides que le quidam de passage, l’ont bien vite compris, même parfois instinctivement pour les plus durs.

Ce qui explique la vague actuelle de tentative d’éradication des libertés individuelles au profit de la nation, c’est-à-dire à ceux qui détiennent le pouvoir même tout petit.

Et ce, au nom, actuellement, d’une sécurité sanitaire, toutefois volée au sachant médicaux qui rentrent en guerre de tentative de pouvoir.

Et une autre, parmi tant d’autres restrictions, censure frappant de plein fouet les artistes amateurs qui opéraient via les réseaux sociaux pour faire entendre leur voies et surtout musique.

Supprimer, ils n’ont plus le droit de faire des lives.

Mais, bien entendu, les célèbres, les connus, eux continueront d’exister.

Et cela à la suite d’une décision obligeant ces mêmes réseaux à payer des droits lorsque la musique diffuse.

C’est beau le principe de la démocratie bien appliqué !!! Comme c’est pour le 01/10, en attendant FB coupe lorsque l’air lui parvient trop fort…

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