Du vol à l’entourloupe, il ne manque pas d’air

C’est du vol, de l’entourloupe de haut plafond.

Mais ce sont les pratiques bien connues du capitalisme libéral d’extrême droite qui veulent que l’on tente d’abattre un adversaire concurrent lorsqu’il est à terre.

La compagnie aérienne de terre France a besoin de son gouvernement pour s’envoler.

Mais dans son règlement délétère, la Cee pour ce faire réclame l’abandon de pistes de vol à lâcher à a concurrence.

Ces créneaux pas seulement horaires sont autant de source de vie perdue s’ils ne sont plus exploités.

Je vole à ton secours par la porte arrière pour mieux réduire ton chiffre d’affaires dans les soutes à pognon.

Ces gens là ne manquent pas d’air.

Et, pour s’en sortit, les dirigeants toujours en place licencie et veulent réduire les congés de ceux restés sur le tarmac.

Or, depuis, l’un des leurs lâche le morceau.

Les créneaux donnés ne pèseront pas lourds dans la balance car ils étaient déjà peu exploités voire pas du tout.

Ce sont les écolos qui sont heureux de savoir que leur national balaieront mois le ciel tricolore au profit d’étrangers.

Ces gens là sont au ras du sol.

Ils n’aiment que le vert et surtout pas le bleu.

Et le vert, il va falloir le boire jusqu’à la lie tant ils attendent en souriant d’être élus pour être ensuite à découvert en montrant les dents.

Il ne faut pas prendre le vert à moitié vide.

Attendez qu’il donne toute l’expression de son talent, pour prendre la mesure de l’évidence de son éviction.

L’écologie oui, le vert non et dès le premier.

Avec de telles ineptie, il est certain que dame au chat parricide aimant les jeunes, dont 30 % le lui rend bien, a un net avantage.

D’autant qu’elle prend soin de nouveaux atours pour éviter que l’on perçoive les alentours de sa vraie politique de fond nationaliste.

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