La droite revient. Filons …

Il avait fait un communiqué de presse digne, se voulant être le renouveau d’un départ de campagne rester en ville près de ses proches qu’il a réussi à (re)souder.

Puisqu’il a fait ses excuses, demander pardon, il devient une victime et ses ennemis n’ont pas le droit de tirer sur une ambulance.

Mais voilà, il sort de son ordi des courriels adressés à son ex assistante toujours son épouse dans le privé, prouvant que la journaliste, coupable d’un article publié il y a longtemps, et contant une phrase de madame « non, je n’ai jamais été son assistante (de son époux dans le privé) », aurait été outré du sort réservé à son chef d’œuvre.

Or, ces courriels ont été adressés bien avant la publication de l’émission télévisée mettant en cause les dires de ce charmant paysage introverti il est vrai.

Par ailleurs, sa retenue extrême, voire sa grande timidité, l’ont sans doute empêché de s’ouvrir sur le monde réel où bien des adultes en emploi ou en recherche aimerait trouver employeur si généreux (pour mémoire, le revenu mensuel net pour la moitié des personnes adultes est inférieur à 2 350€).

Et, c’est sans doute pour cela que dans son programme il tient tant à baisser les allocations de toutes sortes (sauf familiales pour ses congénères fous de leur moitié) afin d’éviter toute accoutumance.

Mais avez-vous eu explication réelle sur la date exacte du début de rémunération de dame qui se déclare n’être pas son assistante ?

Sur le montant d’indemnités de licenciement, fortement supérieure à ce qui se fait de mieux dans ces honorables lieux, alors qu’emploi ailleurs identique, elle a trouvé.

Et que dire des royalties reçues pour deux petites chroniques dans une revue dont, c’est pur hasard, le patron, milliardaire de surcroît, on a les amis que l’on mérite, avait été proposé à la grande médaille par Monsieur dont le hasard voulait qu’il soit époux de… vivement que sa moralité s’applique à tous : la droite revient. Fillons…doux.

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