Droit en toute liberté

Il ne faut jamais tirer sur une ambulance, mais tout de même l’on demande s’il y a un pilote dans l’avion qui semble en panne de fonctionnement normal sur le tarmac de notre désespoir.

Il y avait, déjà loin dans le passé les discours martiaux de l’illuminé, il y a eu l’invitation en pleine déconfiture judiciaire, du demandeur par le ministère de la justice, cela a été suivi par un discours à faire rougir de honte un bon de gauche de ne pas l’avoir fait lui-même.

Mais complètement irréaliste dans la bouche d’un libéral de droite extrême, même si personne n’a le monopole du cœur.

Et il l’est encore plus lorsque l’on apprend que les syndicalistes représentatifs de la corporation n’ont même pas été entrevus au préalable d’un tel dénigrement publique.

L’on découvre que la bonne justice a passé en catimini un décret laissant à la femme battue, ou conjoint pour mettre ensemble, un très court délais pour invoquer à ses frais en plus sa demande d’éloignement.

Et la dame patronnesse de cette kermesse s’étonne que les association et surtout le promoteur de cette loi sont vent debout contre tant de turpitudes.

Le réseau à petit oiseau a encre frapper.

Il vient d’expulser divers tweets où la haine et le racisme pointent leur nez sournoisement.

Comme c’est de mode personne ne réagi.

Personne ne semble s’étonner qu’une telle entreprise privée ait le droit de dire le bon du mauvais.

Pourtant, c’est mauvais, vraiment une branche pourrie où l’on s’assoie d’une part sur la liberté d’expression, d’autre part sur le public.

Laissez dire, mais inutile d’en faire une publicité.

 La censure est une affaire de droit commun, de droit public.

La seule possibilité du privé est de faire le constat que c’est contraire à sa philosophie.

Il peut exclure un membre pour son mauvais comportement mais pas ses propos.

Certes dans un cadre très privé, à faible audience l’on peut agir.

Mais à partir d’une grande audience l’on ne peut interférer autoritairement dans le droit à l’écrit, le droit à la parole ; même s’il en ressort des âneries.

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