Droit divin (bis)

Lorsque vous êtes dans une zone protégée, vous ne pouvez pas y faire ce que vous voulez. Cela est bien normal, il faut préserver le patrimoine qu’il soit immeuble ou naturel.

Et, ainsi, les heureux propriétaires de ces petits paradis doivent demander à leur mairie d’instruire le représentant des architectes de France du coin pour obtenir droit ou non de faire ou pas.

Tout est bien dans ce meilleur des mondes où des sachant savent préserver notre culture.

Mais, là où ça coince c’est qu’en terme de dialogue le demandeur a rôle de muet et le tenant du pouvoir est sourd.

Muet car il n’a pas son mot à dire.

Il se doit de remplir un formulaire pré-établi avec des questions qui bien souvent n’ont rien à voir avec la particularité du site même s’il s’insère dans un site plus global.

De fournir des pièces du projet pour que soient prouvés ses écrits.

Sourd, car l’homme de son art ne veut pas entendre la demande d’art du particulier et il n’est pas question d’établir un dialogue en face à face ; à moins peut-être d’être notable en son endroit mais c’est sans doute une autre histoire.

Et le couperet tombe sans que vous sachiez bien pourquoi.

Si vous avez jeté un œil sur le précédent « Droit divin » vous savez que le voisin d’un habitant d’une copropriété horizontale n’a pas obtenu satisfaction de ravalement alors que sa demande était identique à celle produite par l’habitant qui lui a eu satisfaction.

La seule explication en a été qu’il ne s’agissait pas de la même personne ayant traité l’affaire… de plus, les exigences de ces messieurs dames s’arrêtent aux murs, tant pis pour les portes et fenêtres et autres bois.

Mais, un autre voisin a vendu.

Il a indiqué que le ravalement a été fait.

Le notaire, de quoi cet homme se mêle, demande conformité.

Et, venu sur place une employée avec un petit coupon « échantillonnaire » pour dire que la teinte appliquée n’était pas conforme.

Refus ; et la vente….

Quitter la version mobile