Vous allez voir, vous allez bien rire.
C’était un qui, dans une résidence dite horizontale, avait décidé faire faire son ravalement : les façades n’ayant pas été nettoyées depuis plus de 25 ans, sinon plus.
Étant dans une zone surveillée à la loupe avec des jumelles par les hauts seigneurs des bâtiments de France, il avait fallu porter patte blanche pour pouvoir opérer.
Après quelques palabres, mais néanmoins rapidement pour ces gens-là, l’accord avait toqué à la porte de l’heureux élu.
Deux curiosités néanmoins, l’une concernant la couleur ; « La peinture doit être de ton pierre soutenu (beige, beige ocré, sable ou gris beige légèrement ocré) » en bon français administratif qui ne veut strictement rien dire.
L’autre, c’est que l’architecte dit de France ne s’intéresse qu’à la couleur de la façade.
Celle des volets et autres parties en bois, et il y en a beaucoup, il s’en fiche comme de sa première chemise que sa maman s’est efforcée de rendre belle pour qu’il réussisse son oral.
Les voisins connaissant le même besoin, dans la même résidence horizontale, font les mêmes démarches pour obtenir la propreté de leur logis.
Et, bingo, lettre de refus du service dont les explications sont incompréhensibles.
Mais, il est vrai que c’est un autre architecte qui a officié.
L’on s’amuse bien dans les couloirs de ces gens-là on dirait.
Bon d’accord, tout le monde peut se tromper.
A la deuxième relance, et prenant exemple sur le premier test réussi, le sésame est accordé dans les mêmes proportions.
2 ans se sont passés, les ravalements sont faits depuis longtemps malgré la perte dû à la pandémie.
Tout le monde est content.
Sauf que … La suite en suite !!!